Presse
LE DERATISEUR DE HAMELIN
Le Courrier: Un joueur de flûte rock'n'roll, Cécile Dalla Torre, 30 janvier 2015
Le Temps, La Révolution au son de la flûte, Khadidja Sahli, 6 février 2015
24 Heures, Un musicien dératiseur ensorcelle les enfants, 23 avril 2015.pdf
RTS, Le 12h45: L’invité culturel: Frédéric Ozier, metteur en scène et comédien, a cosigné "le Dératiseur de Hamelin" 27 avril 2015
Espace 2, Critique de Thierry Sartoretti, en dialogue avec Florence Grivel, Les matinales, 26 janvier 2015
Regard sur le spectacle par L'Atelier critique
LE DEMON APRES MIDI
RTS, La Première, Nicolas Yazgi, auteur et dramaturge, est l'invité de l'émission Vertigo du 14 mai 2015
Les extraits médias pour la période 2012-2014 seront mis en ligne ultérieurement.
PINOCCHIO
Panltin mythique sous chapiteau
« Pinocchio » est l’occasion d’une belle rencontre entre les compagnies des artpenteurs et Pied de Biche. En tournée vaudoise.
(…) Comédiens et metteurs en scène, Frédéric Ozier et Thierry Crozat proposent un Pinocchio burlesque, touchant et poétique. Sous le chapiteau intimiste des ArTpenteurs, six comédiens entraînent le public dans un tourbillon d’ingéniosité et de dynamisme.(… ) les aventures du pantin sont ici brillamment sélectionnées et orchestrées. Humour suspense, poésie s’enchevêtrent et se rencontrent pour donner forme à un récit initiatique fonctionnant à merveille (….)
© le Courrier, samedi 7 mai 2011, p.18, Laurence Loewer
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© 24 heures Région La Côte; 11.05.2007; page 35
Un conte défoncé au pied-de-biche
THEATRE - Le Moulin-Neuf propose de revisiter une parabole des vaillants frères Grimm. Déjanté, rock’n’roll et hautement recommandable.
Frédéric Ozier a voulu s’attaquer à un conte. Celui des frères Grimm s’est imposé. «Le seul resté ancré en moi depuis l’enfance», commente le metteur en scène de la compagnie Pied-de-biche. Normal! La morale de l’histoire sonne comme le conseil ultime pour qui espère percer un jour dans l’univers impitoyable du théâtre: Aie confiance en toi. Même aveuglément.
Le vaillant petit tailleur, lui, crut toujours en son étoile. S’appuyant sur ses succès même les plus insignifiants, il finit par façonner une réalité à l’image de ses rêves. Triomphant de la bêtise de géants, de la violence d’une licorne belliqueuse, de la puissance d’un sanglier et de la mauvaise foi d’un roi avec pour seules armes sa confiance, sa malice et sa naïveté aussi. Au bout du… conte, il épousa une princesse et devint roi.
Trottinette et licorne
Voilà grosso modo le propos de cette création jeune public faite de bric et de broc et menée tambour battant par les potaches de la compagnie lausannoise. Les objets les plus anodins sont mis ici à profit. Une trottinette peinte en blanc fera office de licorne, quelques boîtes de conserves et couteaux, une armée de cavaliers. L’imaginaire entre en ébullition. Des bribes de pop classieuse saupoudrent de ci de là l’onirique spectacle de savoureux anachronismes. Le tour est joué. Déjanté, superspeed, rigolo et plein de finesse. «Du théâtre garage», synthétise Frédéric Ozier avec la même insolente confiance en lui qu’affiche son petit tailleur. Le résultat parle à l’enfant qui est en chacun. Probablement plus qu’aux véritables enfants, en qui il devrait infuser un moment avant de porter ses fruits, l’adolescence venue.
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© 24 heures Région La Côte; 05.11.2005; page 13
Les Bacchantes au Moulin-Neuf. Critique.
Redoutables plaisirs
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Des Bacchantes d’Euripide, tragédie écrite quatre siècles av. J. -C. , le metteur en scène Frédéric Ozier célèbre les violents contrastes qui divisent la nature humaine. La lutte infernale qui oppose la rigueur et la rationalité de Penthée à l’animalité barbare de Dyonisos s’étend au choix de la scénographie et au parti pris quant au jeu. La scène est comme prise en étau entre les murs rectilignes du palais et une végétation débordante, tandis que le jeu est tour à tour burlesque ou tragique, comme les deux éléments du yin et yang: indissociables.
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